
Mais, au-delà, que peut bien signifier "illustrer un poème" ? Un poème a-t-il besoin d'être illustré ? Je parlerais plutôt d'accompagnement, comme on accompagne une chanson, par exemple. Comme je suis nul à la guitare, j'ai opté pour le non-figuratif : par un libre jeu de formes, de lignes et de couleurs, il s'agit de souligner la musicalité du texte plutôt qu'un sens auquel il ne saurait être tout à fait réduit.
Tout ça pour dire que ça me tentait depuis longtemps et que j'ai hâte de voir ce que donnera ce recueil.
En attendant, je me propose de revenir ici même de temps en temps vous en donner quelques nouvelles et me livrer, selon mon habitude, à quelques cogitations arides sur le beau paradoxe qu'il y a à illustrer de la poésie...
Je ne pense pas que tu aies beaucoup de mal à remplir ton blog, c'est déjà très prometteur.
RépondreSupprimerStephane
(Girel-leu)
oui je dis pareil que Stéphane.
RépondreSupprimerJe prends un abonnement pas plus tard que tout de suite.
Tu as terriblement évolué depuis les triangles, même si on sent encore un peu l'influence du carré. Il y a là en germe tout l'art d'arrondir les angles...
RépondreSupprimerRien que pour le titre, on a envie de voir la suite !
RépondreSupprimerBienvenue sur la Blogosphère, Yann, et que La Force soit avec toi !
C'est nul.
RépondreSupprimerdu beau, du bon,(du trash aussi!) du Fastier ! vers la poésie et au-delà ! à bientôt...
RépondreSupprimerGénial, bienvenue dans la blogosphère, cher Yann ...et au plaisir de te croiser en salon, en concert ou ailleurs !
RépondreSupprimerhihihi j'ai bien ri...
RépondreSupprimergwen